Le Premier ministre, Ousmane Sonko, a présidé le vendredi 27 septembre, l’ouverture de la 74e session du Comité des ministres de l'Agence pour la sécurité de la navigation aérienne en Afrique et à Madagascar (ASECNA). Lors de son allocution, il a annoncé que « le trafic aérien en Afrique devrait connaître une croissance annuelle inférieure à 4,6 % au cours des 20 prochaines années, dépassant toutefois la moyenne mondiale de 3,5 %. »
Selon Sud Quotidien qui donne l’information, cette augmentation, a-t-il expliqué, sera favorisée par plusieurs facteurs, dont « l'urbanisation rapide, la hausse des revenus et la forte croissance démographique sur le continent. » Le Premier ministre a également souligné l’importance du marché unique du transport aérien africain, lancé en 2018 dans le cadre de l’Agenda 2063 de l’Union africaine. Ce projet phare devrait, selon lui, « générer 300 000 emplois directs et 2 millions d'emplois indirects, tout en augmentant le PIB africain de 4,2 milliards de dollars. »
Ousmane Sonko a salué les efforts des États africains pour développer leur secteur aérien, citant la construction de nouveaux aéroports, le lancement de compagnies aériennes et la mise en œuvre de projets structurants tels que les Académies des métiers de l’aviation et les Centres de maintenance des avions.
En outre, il a plaidé pour « l'élargissement de l’ASECNA à d’autres États africains, rappelant que l'agence, qui regroupe déjà 19 États membres, est un instrument d'intégration et de développement pour le secteur aérien du continent. » Pour Ousmane Sonko, la solidarité sur laquelle repose l'ASECNA a permis à l’institution de s'adapter aux évolutions rapides de l'aviation civile et de devenir un centre d’excellence mondialement reconnu.
Selon Sud Quotidien qui donne l’information, cette augmentation, a-t-il expliqué, sera favorisée par plusieurs facteurs, dont « l'urbanisation rapide, la hausse des revenus et la forte croissance démographique sur le continent. » Le Premier ministre a également souligné l’importance du marché unique du transport aérien africain, lancé en 2018 dans le cadre de l’Agenda 2063 de l’Union africaine. Ce projet phare devrait, selon lui, « générer 300 000 emplois directs et 2 millions d'emplois indirects, tout en augmentant le PIB africain de 4,2 milliards de dollars. »
Ousmane Sonko a salué les efforts des États africains pour développer leur secteur aérien, citant la construction de nouveaux aéroports, le lancement de compagnies aériennes et la mise en œuvre de projets structurants tels que les Académies des métiers de l’aviation et les Centres de maintenance des avions.
En outre, il a plaidé pour « l'élargissement de l’ASECNA à d’autres États africains, rappelant que l'agence, qui regroupe déjà 19 États membres, est un instrument d'intégration et de développement pour le secteur aérien du continent. » Pour Ousmane Sonko, la solidarité sur laquelle repose l'ASECNA a permis à l’institution de s'adapter aux évolutions rapides de l'aviation civile et de devenir un centre d’excellence mondialement reconnu.
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